Trois milliards d’hommes, soit la moitié de la population actuelle, à venir en plus sur la planète dans les cinquante ans à venir.
Et ces hommes, comme déjà ceux d’aujourd’hui, voudront plus que jamais des voitures, des protéines animales, des appareils électriques et électroniques. L’exploitation des ressources naturelles s’accélérera et le changement climatique s’emballera.
L’auteur explore sans concession le labyrinthe des voies possibles pour éviter le pire : la disparition de l’humanité, désormais une perspective plausible. La question nucléaire est abordée sans a priori, certains espoirs quant aux énergies renouvelables sont réévalués. L’ultime réponse à la question posée est un appel plein de bon sens à la mobilisation générale pour l’émergence de la nouvelle « intelligence écologique » et l’invention d’un nouveau paradigme économique.