En 1614, dans le premier traité des passions écrit en vernaculaire, Camus transmet, en s'appuyant sur les traditions antique et chrétienne, l'idée que les passions sont en soi « indifférentes », ne produisant d'actes bons ou mauvais que selon les décisions du libre-arbitre qui est en cela aidé par l'amour de Dieu.