L'abbé de Chaulieu et le marquis de La Fare, poètes mondains unis par les liens d'une solide amitié, fréquentèrent les cercles de la duchesse de Bouillon, des Vendôme et des Condé. Leurs poésies, qu'inspirent Anacréon et Épicure, s'affranchissent avec audace des normes esthétiques du Grand Siècle.