Fin 1852, Gérard de Nerval publie Les Nuits d'octobre où il expérimente un réalisme inséparable de la fantaisie. Il publie aussi Contes et Facéties où il mêle le conte bousingot, le canard journalistique, et le conte folklorique. À l'orée du Second Empire, cette manière bohème revêt une valeur d'opposition.