Non seulement pauvre, Lisbeth Fischer est aussi l'incarnation de la frustration et du sadisme qui s'emploie à causer la ruine de sa propre famille. Balzac projetait l'écriture d'une nouvelle : mais La Cousine Bette finit par s'imposer comme l'un des drames les plus riches et les plus fournis de La Comédie humaine.