L'Âne promeneur, ou Critès promené par son âne d'Antoine-Joseph Gorsas (1751-1793), flétrit sans retenue, par l'entremise de l'insolent Critès et de son âne ratiocineur, les moeurs, les lubies et « l'ingoût » de ce « siècle des singularités », réservant à Beaumarchais un traitement particulièrement ravageur.