Antoine Tiron, qui était précepteur à Anvers, a traduit en français deux des meilleures comédies sacrées de la Renaissance : le Josephus (1544) de Macropedius et l'Acolastus (1529) de Gnapheus. Bien que destinées à la lecture scolaire, ces traductions témoignent d'un sens remarquable de la théâtralité.