Les Nuits d'octobre expérimente un réalisme inséparable de la fantaisie, tandis que Contes et Facéties mêle le conte bousingot, le canard journalistique et le conte folklorique. À l'orée du Second Empire, cette manière bohème revêt une valeur d'opposition. L'édition rigoureuse du texte ainsi que le riche appareil critique en font une édition de référence.