Traduit de l'anglais (États-Unis) par Philippe Garnier et Marc Amfreville.
« Tout ce qui n’est pas écrit, couché sur le papier, disparaît, à part certains moments, scènes et personnages impérissables. »
Salter par Salter réunit les trois dernières allocutions données par James Salter à l’université de Virginie en 2014, ainsi que l’entretien « Tout ce qui n’est pas écrit disparaît », paru dans la Paris Review en 1993. L’auteur d’Un bonheur parfait s’y confie et évoque les lectures qui l’ont inspiré, la genèse de ses romans, sa vie d’écrivain et ses rencontres, et tente d’analyser ce qui fait un « style ».
Entre exercice d’admiration, souvenirs et pérégrination littéraire, Salter par Salter est l’autoportrait en creux d’une des dernières légendes de la littérature américaine contemporaine.