traduit de l'anglais (Afrique du Sud) par Hélène Papot.
En 1912, le SS City of Birmingham approche des côtes indiennes. À son bord, le jeune romancier Edward Morgan Forster, qui écrira plus tard Route des Indes et Maurice.
E.M. Forster laisse derrière lui la bourgeoisie anglaise à laquelle il appartient, et ses compagnons d’écriturre Virginia et Leonard Woolf, Henry James, D.H. Lawrence. Dans l’autre monde des colonies, il part chercher l’inspiration et ce qu’il n’ose s’avouer : plus qu’une amitié, l’amour de ceux qu’il aime – les hommes.
L’Été arctique met en scène Forster dans son cheminement intime et littéraire. Au-delà de la biographie de l’un des plus grands écrivains britanniques, c’est un admirable roman sur la solitude et l’acceptation de soi.