Elle a perdu son mari dans des conditions mystérieuses.
Elle vit dans une maison vide, seule (mais est-ce bien sûr ?).
Elle se passionne pour le cas d’un jeune garçon surdoué.
Elle entretient de curieuses relations avec son banquier.
Elle devrait se méfier de son père.
Elle s’appelle Frédelle.
Dans ce roman, proche par son inspiration d’ Un secret sans importance, Agnès Desarthe renoue avec ses interrogations fondamentales. On pense à Cynthia Ozick, à son goût pour l’intelligence et les métaphores, et à sa capacité d’indignation.