Jeune étudiant perdu dans la capitale, le narrateur avoue : « J’étais au paroxysme d’un désir de vivre et de mourir. Mon angoisse étincelait dans le vide du monde. Et ce feu intérieur pouvait me sauver ou me tuer. »
À l’ombre de Notre-Dame, cependant, Paris offre des fêtes salutaires au cœur, aux sens et à l’esprit des lieux où s’effacent les peurs, des voies pour entrer dans la vie.