Dans un ensemble d’ateliers parisiens, une jeune femme, comptable, est trouvée étranglée, en mai 2006. Tous les habitants de cet ensemble vont enquêter, sous l’œil de la narratrice dont un lointain cousin (mais très proche ami) est journaliste, spécialisé en faits divers. Parallèlement à l’observation de la narratrice, une romancière de polars, Olga Leewenhoek, décide d’écrire un roman sur ce meurtre. Un chien joue son rôle, ou plutôt devrait en jouer un, mais disparaît inexplicablement. Le chien du titre est également le chien au cœur du mal, au cœur du meurtrier et de tous les tyrans. Plusieurs meurtres ont été commis avant celui de celle qui est simplement nommée « la femme à la vespa » et après elle, selon une mise en scène analogue, qui laisse supposer que l’assassin photographiait ses victimes...