Comme l’indique son titre, ce petit livre met un point final à la suite bardadraque qui l’a précédé, selon une fonction d’« examen » auto-critique et dans un après-coup plus ou moins tardif, que la tradition classique assignait comme définitive et forclusive. La sagesse populaire, qui craint à juste titre les suppléments inutiles et les promesses en l’air, dit en pareil cas : « N’épiloguons pas », ou parfois, et plus bizarrement : « N’anticipons pas ». Je vais donc épiloguer un peu, mais pas trop, dans un autre désordre à bâtons rompus et sous le signe paradoxal de la convergence des temps, sans éviter quelques détours à fins de repentirs ambigus, d’aggravations provocantes ou de diversions hasardeuses, et non sans anticiper parfois, mais pas de beaucoup, on verra bien quoi.
G.G.