«À la fin du mois d'août 2001, alors que je suis installée dans mon bureau, ma vie bascule.» Finis l'assurance de durer toujours, le confort d'une vie... Mais dans l'expérience violente qui consiste à affronter l'idée de sa propre disparition, on apprend aussi beaucoup. La vie est une maladie mortelle. Mais c'est la vie. Un récit écrit à quatre mains par Marie Desplechin et Lydie Violet, couronné par le prix Médicis essai 2005.
«Je suis l'espoir et le désespoir, la force et la faiblesse, la mort et la vie. Je n'en demandais pas tant. Je me serais contentée d'un destin plus simple.»
«On entend la gouaille de Lydie/Marie, son intelligence tranchante, son goût de la joie, son amour des gens, sa belle hargne aussi contre les assis, les confortables, les envieux, les pas inquiets.»