A. N., 15 ans, a des raisons d’en vouloir à l’existence. Elle vit dans une chambre insalubre de Harlem. Sa mère tire ses ressources de l’aide sociale. Comme la plupart des enfants du quartier, elle ne connaît pas son père. Son frère se drogue, sa sœur aussi. Autour d’elle, tout semble voué au désastre. Mais du matin au soir, de l’école à la bibliothèque, une seule idée l’anime : sortir de cet enfer.
Auteur de neuf romans, Julius Horwitz a travaillé plusieurs années comme assistant social à New York avant de faire de la recherche. Il est mort en 1986.
« Un livre cruel, poignant, où chaque civilisé peut voir se dresser, dans toute sa force d’accusation, le visage des pauvres. »
La Croix
Traduit de l'anglais (États-Unis) par Jean-Michel Jasienko