Dalila découvre, adolescente, que son père était un harki : un traître, un vendu. Interrogé, le père se mure dans le silence. Quarante ans après la déclaration d’indépendance de l’Algérie, Dalila se lance sur les traces de ses parents, arrivés en France en 1962. Plus qu’un drame intime, ce récit est un témoignage cru et vivant de l’une des pages les plus sombres et occultées de notre histoire.
Née en 1973 dans un camp de harkis, dernière d’une grande fratrie, Dalila Kerchouche est journaliste à L’Express.
« Un bouleversant témoignage. »
Le Nouvel Observateur