Sous la forme d’une lettre posthume à son grand-père, Delphine Minoui, journaliste franco-iranienne, raconte ses années passées à Téhéran, de 1997 à 2009. Elle porte un regard neuf sur son pays d’origine, tiraillé entre ouverture et repli. À ses côtés, on s’infiltre dans les soirées interdites, on pénètre dans l’intimité des mollahs et des miliciens bassidjis, on suit les espoirs et les déceptions du peuple…
De mère française et de père iranien, Delphine Minoui est lauréate du prix Albert-Londres 2006 pour ses reportages en Iran et en Irak. Elle est grand reporter, correspondante du Figaro au Moyen-Orient.
« Un témoignage plein de violence et de passion. »
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