« LE CHAÎNON MANQUANT ENTRE BRET EASTON ELLIS
ET LE MAÎTRE DES ILLUSIONS. »
– Emma Flint
Lavinia a tout – la beauté, la richesse, les amis.
Louise n’a rien – ou presque.
Leur rencontre va sceller leurs destins – irrémédiablement.
Les deux jeunes femmes, courant ensemble les soirées les plus prisées du gotha new-yorkais, se jurent une amitié éternelle – à la vie à la mort.
Louise sait que cela ne durera pas.
Lavinia, elle, ne sait pas que dans six mois, elle sera morte.
Mais vous et moi, nous le savons.
Portrait acide d’une amitié toxique au temps des réseaux sociaux, satire glaçante d’un monde de faux-semblants où les êtres n’existent qu’à travers leur image, Social Creature est un thriller psychologique à la mécanique implacable, qui dissèque avec une intelligence redoutable et réjouissante notre époque désenchantée.
Tara Isabella Burton a suivi une ermite jusqu’au fin fond du Caucase, s’est vue offrir des talismans d’amour par des shamans turcs et a manifesté avec les prêcheurs de rue de Las Vegas. Elle a aussi obtenu un doctorat en littérature française du XIXe siècle et en théologie à l’université d’Oxford. Journaliste, elle partage son temps entre l’Upper East Side de New York et Tbilissi en Géorgie.
« La prose est électrique, les personnages éblouissants d’intelligence. Ce roman vous consumera. » Danya Kukafka, auteur du bestseller Girl in Snow
« Aussi affûté qu’un miroir brisé… Burton a beaucoup à dire sur les conventions de notre temps. La vivacité des dialogues et un sens de l’humour tranchant mènent irrésistiblement au point de non-retour où Louise doit décider si elle tuera de nouveau, ou pas. » The New York Times Book Review
« Une histoire haletante d’amitié toxique poussée à l’extrême sur fond de décadence, de bohème et du glamour sombre de New York. » Elle
« Social Creature, sans rien renier de sa singularité féroce, multiplie les clins d’œil aux maîtres du genre, passés et présents (Patricia Highsmith, Gillian Flynn)… Ce roman construit un suspense insoutenable autour de la mort de Lavinia. Et ce qu’il adviendra ensuite. » The New York Times