Cet ouvrage interroge les manières dont les écrivains et les artistes contemporains en ayant recours dans leurs œuvres au plagiat, à la tromperie, au faux, dérangent la « société de l’imposture » en s’attachant à transgresser de manière critique, les impostures non-fictionnelles qui traversent l’ordinaire de nos vies.
La question des impostures et des vérités en arts interroge les manières dont les écrivains et les artistes contemporains dérangent la « société de l’imposture » en ayant recours dans leurs productions au plagiat, à la tromperie, au faux en tant que jeux fictionnels d’impostures. Proposant des formes de création inédites, les fictions qu’ils élaborent s’attachent à transgresser de manière critique les impostures présentes dans l’ordinaire de nos vies. En quoi alors leurs productions sont-elles révélatrices de la manière dont aujourd’hui, la société du spectacle dénoncée par Guy Debord et devenue une société de l’hyperspectacle où règne l’imposture généralisée ? Autant d’interrogations qui traversent les articles réunis ici dans le présent volume.