Sa traductrice, Claire Malroux, décrit Verre, Ironie et Dieu en ces termes : « un essai écrit en tercets, L’Essai de verre ; un ensemble de poèmes au titre philosophique, La vérité sur Dieu ; une sorte de reportage, mi-prose, mi-poésie, Hommes de la télé ; un « guide du voyageur », La chute de Rome ; une imitation d’un texte biblique, Livre d’Isaïe, et enfin une communication parfaitement classique d’universitaire sur Le genre du son ». Ce qui fait tenir ensemble les différentes pièces du puzzle est la poésie, dans une approche critique et féministe, qui fonctionne comme « le lien vital qui les réunit, leur confère, au-delà de toute contingence, le sceau de la nécessité. »