Jacques Mesrine enchaîne cambriolages, braquages, enlèvements et évasions... Il devient " Ennemi public n° 1 " dans les années 1970. Il est arrêté en 1973. Emprisonné dans les quartiers de haute sécurité (QHS) de la Santé et de Fleury-Mérogis, il rédige son autobiographie – L'Instinct de mort – dans laquelle, avant même d'être jugé, il assume l'ensemble de sa " carrière ".
Le 8 mai 1978, Mesrine s'évade du QHS de la prison de la Santé en compagnie de François Besse – une évasion spectaculaire... Il entame une cavale ponctuée de hold-up. L'un de ses objectifs est aussi, par ses actions, de lutter pour la suppression des QHS.
Le 2 novembre 1979, Mesrine " le Grand " comme l'ont surnommé les membres de la Brigade de recherche et d'intervention (BRI), est tué par l'antigang, au volant de sa BMW, porte de Clignancourt à Paris. Depuis, Jacques Mesrine est considéré comme une légende dans notre pays, et une idole chez les jeunes...