Après avoir traité de l'homme, Pline passe aux animaux qu'il appelle "terrestres" par opposition aux animaux aquatiques et marins, aux oiseaux et aux insectes. On peut distinguer dans ce livre deux grandes parties: les animaux sauvages et exotiques (1-141), et les animaux domestiques et indigènes (142-224), quoi qu'il y ait quelques infractions à ce plan général. Dans le premier groupe, c'est surtout d'Aristote que Pline s'inspire; dans le second, il emprunte en outre largement à ses compatriotes qui ont traité des choses de la campagne, et notamment du bétail, Varron et Columelle, pour ne nommer que les plus importants.