Bien des ouvrages de médecine antique ont été consacrés aux" choses des femmes » Celui de Soranos, qui travaille à Rome sous Trajan et Hadrien, présente de la gynécologie la conception la plus riche, traitant avec compétence, délicatesse et tact des problèmes de la femme en période d'activité génitale, et de la petite enfance.
Cet ouvrage exerça une influence considérable, surtout dans ses adaptations latines. Sa langue, riche de néologismes, est du plus grand intérêt.