" Un livre bruissant du mystère d'un être. " Le Figaro " Ce livre parle d'une aventure intérieure que l'on ne sait plus écouter de ce côté-ci du monde. " ELLE Mon père ne m'a pas légué des meubles ou des bijoux, mais des bâtons d'encre. Ils sont pour moi un trésor de famille plus précieux que l'or. Tous les matins, je calligraphie pour me calmer, pour chasser l'inquiétude et entrer dans la danse de la vie. Cette pratique quotidienne m'est devenue indispensable, comme une prière intérieure. Chaque jour, il faut repartir de la feuille blanche, plonger en soi, se mettre en quête de vérité et de beauté. Venues du plus profond de moi-même, ces créations dessinent en quelque sorte le portrait de mon âme.?" La calligraphie est au cour de la vie de François Cheng. Voici une édition revue et augmentée de ce qui est sans doute son livre le plus personnel, un autoportrait à l'encre et au pinceau, où chaque ouvre est accompagnée d'un texte tissé de souvenirs et de réflexions intimes. Poète, essayiste et romancier, Prix Femina pour Le Dit de Tianyi (Albin Michel, 1998), Prix de la francophonie pour l'ensemble de son ouvre en 2001, François Cheng a été élu à l'Académie française en 2002. Ses derniers ouvrages, notamment Cinq méditations sur la beauté (Albin Michel, 2006) et Cinq méditations sur la mort - autrement dit sur la vie (Albin Michel, 2013), traduits dans le monde entier, ont rencontré un public nombreux et fervent.