Ce journal, commencé en 1950, constitue, en fait, un long discours sur la rencontre d'un Occidental avec l'Orient. Dans ce tome-ci, les voyages en Amérique Latine ont pris le relais de précédents voyages en Extrême-Orient, lesquels ont déjà fait l'objet d'une publication "Le sourire de Saturne". Toutefois, les réflexions, l'écho donné au déroulement du temps (en particulier lors du retour au Maroc), et, bien sûr, la référence aux événements prolongent, voire accentuent, ce qui a été écrit auparavant en le confrontant à l'intensité tragique du précédent.