Depuis une vingtaine d'années, le cinéma coréen a pris de l'assurance et de l'ampleur dans les pays européens dans lesquels il est distribué.
Des films comme Old Boy (Park Chan-Wook, Grand Prix 2005 à Cannes), Deux sœurs (Kim Jee-Woon), Dernier train pour Busan (Shang-ho Yeon, 2016), ou encore Parasites (Bong Joon Ho, Palme d'or 2019 à Cannes) ont fait bougé les lignes de notre lecture du cinéma mondial, et ce, dans des genres très divers (comédie, horreur, science-fiction, onirisme, réalisme, etc.).
Cet ouvrage offre un nouveau regard sur ce cinéma étonnant, à travers des notices détaillées, développées, de films, de réalisateurs, d'acteurs les plus charismatiques, mais également par le biais de bilans annuels et d'études thématiques telles que "Cinéma et bouddhisme", L'histoire au présent du cinéma coréen", "SF et fantastique à la coréenne", Chamanisme coréen et cinéma", Histoire de la censure dans les cinémas du Sud et du Nord", etc.).
Une mine d'informations, pas un spécialiste et passionné par l'histoire et la culture coréenne.
Cinéaste et enseignant-chercheur, Antoine Coppola fait autorité en matière de cinéma asiatique et coréen en particulier. Il collabore régulièrement à la revue panasiatique Munwhakwahak et contribue depuis 2010 à la chaîne sud-coréenne KBS world international en tant que critique de cinéma. Il a publié plusieurs ouvrages en France sur le sujet.