François Jullien poursuit ici sa confrontation de la pensée occidentale avec la pensée chinoise en s'interrogeant sur la notion de beauté. Le "beau" trône en effet dans la culture européenne sans qu'on se soit enquis des partis pris qui l'ont porté. Or le "beau" ne va pas de soi et la pensée chinoise ne l'a pas isolé. François Jullien le rend ainsi à son étrangeté.