Avec ce texte, Albane Gellé explore nos dénominateurs communs ; nos besoins d’amour, d’équilibre, de consolation dans un monde souvent trop vaste ou trop meurtri. Un monde dans lequel nous pensons devoir trouver notre juste place, alors que peut être, nous devrions nous y glisser, nous y couler, ou simplement y vivre. Et là, avec quelques mots, phrases en viatique, les possibles se construisent.
Albane Gellé nous parle de solitudes fécondes, de rencontres, de pensées solidaires, dans un espace mouvant qu’il nous reste toujours à construire.
Les fragments de lithographies d’Anne Leloup accompagnent les textes. Ce sont des formes, des cocons, des cailloux qui parfois servent de talismans et qui tentent de résumer des bouts de monde.