Les villes, les paysages et les rencontres plus encore, se succèdent à un rythme de Transsibérien dans ce récit haletant et visionnaire, écrit dans l’anonymat des salles de transit ou dans l’apaisement de jardins zen. Ivan Alechine s’inscrivait d’ores et déjà avec ce titre dans la tradition des poètes du voyage où culminent Cendrars et le Michaux d’Un barbare en Asie.