Ce petit livre qui s’ouvre sur un mot révélateur de C.-A. Cingria : «les langues sont faites pour être admirées, contemplées, beaucoup plus que pour être comprises» est, un peu comme Idéogrammes en Chine de Michaux, à la fois une réflexion sur la langue chinoise et les idéogrammes, et une rêverie à partir du chinois.