Écrit en 1908 après plusieurs visites au Musée Gustave Moreau et alors même que Segalen travaillait avec Debussy à son Orphée, ce texte était demeuré totalement inédit jusqu’à notre édition en 1984. Symétrique des essais sur Gauguin, il est pourtant essentiel à une profonde compréhension de l’œuvre de Segalen et de Moreau.