Ce texte inédit de 1947 a le ton du désanchantement, la saveur d’un pamphlet. Dans ces notes finales d’une œuvre symphonique vivent des souvenirs éloignés baignés d’émotion et d’ironie. Enfermé dans son appartement de boulevard Montparnasse le «vieux piéton» nous convie à des promenades, non dans l’espace mais dans le temps.