Écrit à la suite d’un voyage africain en compagnie de son ami le peintre Jean-Gilles Badaire, ce texte, comme son titre l’indique, notamment par l’allusion au Petit traité de la marche en plaine de Gustave Roud, est plus qu’un simple récit de voyageur. Il s’agit plutôt d’une réflexion poétique sur la marche et l’écriture comme manifestations essentielles de la vie : “les tragédies minuscules sont les plus belles épopées.”