Sans doute le plus beau et le plus important des grands poèmes de Pessoa, comparable au Transsibérien de Cendrars ou à Zone d’Apollinaire ; le plus portugais aussi, ce qui a donné à M.H. Vieira da Silva l’envie de l’accompagner de dessins. Préfacé et traduit par Armand Guibert, celui qui a “inventé” Pessoa, et reste son intermédiaire privilégié auprès des lecteurs français.