Les portraits – ou tombeaux – de ces trois écrivains révèlent des facettes plus intimes que celles éclairées par l’habituelle critique universitaire et jettent une lumière nouvelle sur le rapport de Caillois à l’écriture : Marcel Mauss, père de l’anthropologie française qui dirigea sa thèse dans les années trente, Paul Valéry, poète mais surtout auteur des 257 cahiers de son journal intime, et Jean Paulhan, animateur de la NRF à sa meilleure période.
Derrière ces trois analyses brille un singulier autoportrait de Caillois tel qu’il se rêve.