De tous temps le conte s’est développé en marges de toutes les littératures. Au-delà des différentes qualités de style ou d’esprit, tous révèlent une fascinante unité : la magie du verbe dans laquelle semble toujours vouloir se réfugier une secrète vérité.
Autour du mystère de l’image et de son modèle ces six contes, fantaisistes ou mordants, sont autant de tableaux peints par Jean Frémon : tout y est à la fois imaginaire et vrai. Nous sommes quittes pour une nouvelle querelle des images qui cette fois-ci soufflerait l’idée de la supériorité de la représentation face au réel...