Convoquant Tagore, Valéry, Bonnefoy, Fouad Gabriel Naffah, Claudel ou Gracq, Salah Stétié rend un vibrant hommage aux poètes. Se plaçant dans la suite de Mallarmé, ces textes, aussi inspirés qu’inspirateurs, donnent au hasard – “assise instable de la création humaine” – un relief palpable.