De l’attachement de Roland Sénéca au “désir de corps”, Claude Louis-Combet dit ceci : “Sénéca s’applique à la définition du corps humain… Les signes qui individualisent sont éliminés… Il ne reste de l’homme qu’un archétype debout dans l’irrévocable et dont les caractères se déchiffrent à partir de la géologie plutôt qu de l’histoire”. A la manière d’une carte de géographie, aussi représentative qu’abstraite, les dessins de Roland Sénéca nous proposent de rentrer dans le corps, minéral et fantasque, d’en jouir l’instant d’un verbe.