Comme le souligne la préface de Claude-Louis Combet : “le livre, ici, n’entend donc pas parler peinture mais il s’ouvre, d’un bout à̀ l’autre, sur une dimension essentielle de la création : la perception visuelle, dans sa fragilité́, sa né́cessité et son aventure.” Nous apprenons ce que vraiment voir veut dire alors que l’obscurité affleure à la surface des yeux : percevoir et recevoir pleinement, tel un nouveau né ou un animal est capable de saisir ce qui est et plus ce qui semble être.