Enracinée dans les photographies d’Elizabeth Prouvost, où transpire la fébrile fragilité d’un corps contorsionné, la prose de Claude Louis-Combet travaille les mêmes matériaux : nudité primale, argile, douleur ou épouvante. Œuvre des confins de l’être et des gouffres, le corps et les réflexes ne sont ici jamais en sécurité.