“On cherche le corps et l’on trouve la pince. On cherche le vivant, et c’est la pierre ou l’arbre fossilisé des forêts carbonifères ou des souvenirs de cromlech. On ne sait si l’homme que l’on croyait connaître y fut d’abord et, pour tout dire, au commencement, ou s’il existe seulement en puissance, pour un avenir repoussé à l’infini.” (Claude louis-Combet) L’univers de Roland Sénéca n’est ni figuratif ni abstrait, il n’a pas plus de destination que d’origine : timidement le verbe souffle un sens sur des formes qui n’ont de compte à rendre qu’à elles-mêmes.