« Moi, je crois au premier regard, maman. Je crois à la première impression. Je crois au langage de la chair. Au langage des yeux. Au vertige.
À la foudre.
— Ce à quoi tu crois, ma petite fille, cela aboutit au chagrin. »
Il y a les promesses que l’on se fait à vingt ans, et les rencontres que nous réserve le hasard. Il y a le bonheur que l’on croyait tenir, et celui après lequel on court. Il y a l’urgence à vivre.
Beaucoup de subtilité et de justesse. Une émouvante partition sur les éblouissements et les ravages du désir. Bernard Lehut, RTL.
À mesure que l’histoire, tragique, se déploie, c’est comme si Grégoire Delacourt prenait lui aussi son envol. Rien que pour ces fulgurances, éloges à l’indulgence et à la vie, Danser au bord de l’abîme mérite d’être lu. Lou-Eve Popper, Lire.