Déchirée par des rivalités impitoyables, la ville de Troie est en proie à un maelström d’intrigues et de traîtrises meurtrières. En dehors des murs de la cité mythique, des ennemis assoiffés de sang convoitent ses richesses et conspirent à sa chute. Trois individus vont se dresser et changer la destinée de plusieurs nations : Hélicon, le jeune prince de Dardanie, la prêtresse Andromaque à la volonté d’acier, et le légendaire guerrier Argurios, solitaire et dévoré par la vengeance.
C’est une époque de bravoure et de trahison. Une époque de bains de sang et de terreur. Une époque pour les héros!
« David Gemmell réécrit la guerre de Troie dans une trilogie audacieuse où figurent des personnages saisissants de réalité et de justesse, qu’ils soient issus de la mythologie grecque (Ulysse, Hector…) ou de l’imagination fertile de l’auteur. Ce premier tome pose les bases de la guerre à venir. Ce roman a beau s’ancrer davantage dans l’Histoire que dans la fantasy, les amateurs du genre comme les nouveaux lecteurs auront du mal à reposer le livre. » Publishers Weekly
« Avec une plume très directe et nerveuse, David Gemmell nous expose sa vision du récit épique. A partir de la mythologie homérique, il nous propose un univers réaliste et violent, dans lequel s'affrontent des hommes aux passions et aux ambitions exacerbées. Ce premier tome, qui peut se poser comme une sorte de préquelle de l'Illiade, est riche en actes héroïques et sanglants, Un bon premier tome doté d'un final passionnant... on attend la suite avec impatience. » Sci-Fi Universe
« David Gemmell s’attaque à la légendaire guerre de Troie avec une approche réaliste. En plaçant Énée, héros troyen et fondateur de Rome au centre du récit, Gemmell s’appuie sur des sources fiables pour dépeindre une Méditerrannée antique ravagée par une guerre de commerce entre deux grandes puissances. Dans cette version résolument différente de celle d’Homère, les dieux sont invisibles, la magie absente et Hélène de Troie n’est qu’une princesse mineure. Dans ce monde brutal de loyautés farouches et de vengeance meurtrière, Énée est aussi impitoyable que ses ennemis les Mycéniens, et les Troyens sous la coupe du fourbe Priam sont à peine plus dignes d’admiration. En dépit de cela, Gemmell parvient à trouver l’étincelle d’humanité au sein de la guerre en personne de la prêtresse Andromaque qui s’élève contre cette guerre qui s’apparente davantage à la Bosnie des années quatre-vingt-dix qu’à 300. Troie est peut-être le cycle le plus abouti de Gemmell. Je ne peux que le recommander. » Anthony Ryan, auteur de Blood Song