La reconnaissance de l’œuvre d’André Masson n’a servi qu’à la faire méconnaître : s’il a trouvé les principales voies de l’art moderne, d’autres en ont souvent capté le mérite. Ce livre cherche cependant moins à rétablir l’histoire qu’à pénétrer dans le mouvement d’une personnalité plus soucieuse de découvrir que de s’approprier ou d’exploiter.