1945. Une femme médecin de l’Armée rouge déterre près des fours crématoires d’Auschwitz-Birkenau un petit carnet. Elle n’en sait rien encore, mais il s’agit de l’un des témoignages les plus bouleversants de la Shoah. Il ne sera publié que soixante-dix ans plus tard...
Entre octobre 1943 et avril 1944, Rywka Lipszyc a dépeint dans les pages de son journal le cauchemar qui fut le sien et celui de centaines de milliers de Juifs dans le ghetto de Lód , en Pologne.
Avec l’éloquence de l’innocence, Rywka relate son quotidien terrible. Elle raconte aussi comment elle trouve dans l’amitié et dans sa foi en l’humanité la détermination de vivre. Et, pour Rywka, vivre, c’est continuer d’aimer, d’étudier, d’écrire de la poésie. C’est continuer de croire en un avenir meilleur.
Une maturité et une spontanéité étonnantes. François-Guillaume Lorrain, Le Point.
Un livre admirable de courage et de sensibilité. Frédéric de Monicault, Le Figaro littéraire.