La première Chronique fut scintillante et burlesque, quand la Cour s'installa. La Deuxième à la fois grave et ridicule, qui vit paraître la comtesse Bruni. La Troisième, que vous tenez en main, est plus sombre parce qu'elle présente un Souverain remodelé en Tarzan dans un pays devenu dépressif et répressif. P. R.
Rambaud vous rend irrésistible la politique. Étienne de Montety, Le Figaro.
Avec ce troisième volet, Rambaud prouve qu’il y a du Saint-Simon en lui. Il adore les torts, et encore plus les travers. C’est classique, limpide, sans fioritures. On rigole en poussant le cri de Tarzan. François Cérésa, Madame Figaro.
Le sabir du Prince et sa syntaxe approximative sont restitués avec une réjouissante drôlerie, les portraits à charge abondent. Bernard Fauconnier, Le Magazine littéraire.