« J’aime les tweets parce qu’ils partent en silence, circulent en silence et arrivent en silence. Les tweets sont des chats. » Grâce aux tweets, ces messages qui ne peuvent dépasser 140 signes, Bernard Pivot a redécouvert le plaisir de faire court. Avec humour, fantaisie et pertinence, il livre ici une sorte de journal très personnel constitué d’observations, de réflexions, d’aphorismes et de citations, que découvrent chaque matin ses 290 000 abonnés du réseau Twitter.
Pour lui, le tweet, dont il propose une anthologie délirante où rôdent Proust, Malraux, Colette, Léautaud, Sagan, Hugo, Mallarmé et consorts, qu’il fait voyager par le truchement de son lance-pierre verbal, est propice à toutes les expressions, qu’elles soient politiques, littéraires, amoureuses ou même philosophiques. Jean-Louis Ezine, Le Nouvel Observateur.