“Autrement dit, ça bande avec le dessin. Le fou de métaphysique se gratte. Il bouche les intervalles dans le bain du langage. L’articulation : dessin, texte, se déduit de notre constitution. Nous voyons et nous nommons. Un désir d’unité les lie qui n’est que la résultante de notre enveloppe. Le dessin comme première transcription de l’état d’être. Le texte déplie les plis, semble offrir le sens”. A nouveau Roland Sénéca nous propose de suivre ses vertiges, ceux de sa double quête vers les origines du dessin et du langage…
Des dessins – une quarantaine – répondent aux textes, ou inversement.