Jean-Luc Parant sonde ses possessions livresques et, inévitablement, y plonge son regard. La rencontre intime avec les corps imprimés si chers l’emporte autour des grands astres et dans les plus hautes sphères célestes. Se poursuit alors son œuvre – obsessionnelle, répétitive et envahissante – sur le visible et l’invisible : la lecture y est manipulée et l’écriture pénétrée. Sa bibliothèque, réduction – ou augmentation – du monde, continue l’immense terrain de jeu où les yeux touchent et les mains scrutent. Le cycle de l’homme aux boules permet une nouvelle fois à la nuit de s’accoupler à la lumière.